Repair Café et Troc ton Truc le samedi 15 février à Sigolsheim

Les prochains Repair Café et Troc ton Truc auront lieu conjointement

 de 10h à 13h et 14h à 16h30
Sigolsheim 68 – Espace Pluriel (11 rue Saint Jacques)

Repair Café : comment ça marche ?

Tout objet transportable en panne ou abîmé peut être apporté au Repair Café : appareil électroménager, vélo, ordinateur, textile, etc. Les réparateurs bénévoles s’efforceront de le réparer avec vous et ainsi d’éviter que votre objet finisse à la poubelle.
Nous ne réparons pas les appareils photos, les micro-ondes et les smartphones.

Autour d’un café, vous verrez que le partage des connaissances et les échanges humains sont aussi importants que la réparation de l’objet.

Rejoignez-nous !

Notre groupe recherche activement de nouveaux bénévoles, réparateurs, bricoleurs ou simplement volontaires pour participer à l’accueil, la communication et l’organisation des permanences du Repair Café.

Mail : repaircafe@transition-pasapas.org

 

TROC TON TRUC

Vous voulez vous séparer de quelques bricoles en bon état mais que vous n’utilisez plus et qui prennent la poussière, alors venez les déposer au TROC TON TRUC organisé par Pas à Pas.

Le but de cet événement est de promouvoir les échanges non monétaires. Par conséquent, chacun peut venir apporter, échanger ou simplement récupérer des objets en toute convivialité et gratuité.

PS: nous ne pourrons pas accepter d’objets volumineux, mais apportez une photo avec vos coordonnées de votre canapé, salon de jardin, cuisinière… que vous souhaitez céder !

Au plaisir de vous y retrouver !

Mail : festif@transition-pasapas.org 

Tél : Marie-Estelle – 06 06 88 16 61

Préservons les insectes et les oiseaux : les conseils de Pas à Pas

« On ne peut pas imaginer un monde sans insectes. C’est comme si on tentait d’imaginer un monde sans air. Sans insectes, il n’y a plus d’écosystème, plus de nature.» (Vincent Bretagnolle, directeur de recherche eu CNRS)

 Des études scientifiques récentes et la simple observation démontrent un effondrement des populations d’insectes et un rythme de disparition inquiétant pour les oiseaux. Sur les 150 espèces d’oiseaux nicheuses d’Alsace, 44,1% ont été inscrites en Liste Rouge des oiseaux menacés *. 30% des oiseaux des champs ont disparu en Alsace **. La cause principale est la dégradation ou la disparition des habitats naturels de nombreuses espèces.

D’autres causes sont établies : l’uniformisation des paysages, la surexploitation des ressources naturelles, le développement des espèces invasives, les pollutions diverses (notamment les pesticides) ainsi que le changement climatique. Ce phénomène mondial de déclin touche par effet domino toutes les autres espèces animales. On parle aujourd’hui de « sixième extinction de masse ».

Au-delà d’une approche éthique, il s’agit bien d’enjeux socio-économiques qui sont menacés. En effet, nous dépendons en grande partie des ressources naturelles et de l’usage des fonctions biologiques. Par exemple, les 3/4 de notre alimentation proviennent de la pollinisation par les insectes(abeille domestique, abeilles sauvages, papillons, bourdon, etc).

Ouvrez les yeux et les oreilles ! Que serait notre environnement sans le chant des oiseaux et des grillons ?

Comment agir concrètement en faveur de la biodiversité 

  • Préserver les zones où la faune sauvage trouve de quoi se nourrir, s’abriter et se reproduire (prairies fauchées tardivement, tonte progressive du gazon (et si on laissait les pâquerettes fleurir ?), mares et zones humides, bosquets, haies, vieux arbres, bâtiment accueillant pour la faune…);
  • Préserver la flore locale – nourriture vitale des insectes et oiseaux – en la laissant accomplir son cycle jusqu’à la graine (fleurs, graminées, arbustes, etc.) ;
  • Semer et/ou planter dans son jardin des plantes à fleurs riches en nectar, en pollen ou en graines pour les butineurs et les granivores (plantes aromatiques, Reine des prés, Achillée millefeuille, Bourrache, Lavandes, Trèfles, Centaurées, Pâquerette, Marguerite, Lamier pourpre et blanc, Bouillon blanc, Mauves, Campanules, Tournesols, Onagre, Cardère, Plantains…);
  • Planter des arbustes à fleurs et à fruits sous forme de bosquet ou haie (noisetier, néflier, groseillier, cassissier, sureau, aubépine, prunellier, argousier, amélanchier, bourdaine, églantier, cornouiller mâle, etc.);
  • Ne jamais tailler une haie au printemps (période de nidification) ;
  • Laisser en place les vieux lierres (site de nidification, floraison automnale précieuse pour les butineurs et fruits en hiver pour les oiseaux) ;
  • Planter des arbres fruitiers dont la floraison offre aux butineurs une nourriture précieuse au printemps ;
  • Préserver ou aménager tout ce qui contribue à la biodiversité (muret de pierres sèches, pierriers, arbre et bois mort, mare (sans poissons), zone fauchée tardivement, vieil arbre creux, tas de feuilles et/ou de branches…) ;
  • Installer des nichoirs en bois (non traité) pour les oiseaux et les chauves – souris;
  • Éviter l’éclairage artificiel nocturne.

Nous et nos enfants sommes tous concernés par le déclin de la biodiversité et chacun peut agir à son échelle pour que notre vallée continue de fleurir et bourdonner ! 

La 1ère Liste Rouge d’Alsace date de 1989. Elle comprend plusieurs catégories : « En danger critique », « En danger », « Vulnérable », « Quasi menacée », « Préoccupation mineure ».

** Chiffres : Ligue pour la Protection des Oiseaux d’Alsace

Plus d’infos : biodiversite@transition-pasapas.org

3è Apéro-graines le 10 décembre à Lapoutroie

Préparons des sachets de semences locales tous ensemble !

Mardi 10 décembre 17h30 – 20h30 : 3è APÉRO-GRAINES organisé par l’association Pas à Pas à Lapoutroie (salle des ventes – petite salle située au fond de la salle des loisirs).

C’est quoi un « Apéro-graines » ?

C’est un moment convivial pour fabriquer des sachets de semences (par simple pliage), trier et ensacher les graines de nos jardins afin de garnir les 11 Grainothèques de la vallée de la Weiss.

Matériel : feuilles A4 ou A5, grandes règles, stylos, petites cuillères. Et des semences si vous avez ou si des personnes autour de vous en ont en stock !

Chacun ramène une boisson et de quoi partager un buffet.

Soyez gentils de faire suivre cette information à toute personne intéressée, merci beaucoup !

À très bientôt à Lapoutroie !

 

 

 

 

 

La Fête de Pas à Pas dimanche 13 octobre à Lapoutroie

Le dimanche 13 octobre, l’association Pas à Pas, vallée de la Weiss en Transition organise une première fête conviviale et familiale. Elle se déroulera à l’école élémentaire de Lapoutroie de 10h à 17h30. Il s’agit pour Pas à Pas d’inviter les habitants à s’impliquer dans la Transition au quotidien. Pas d’entrée payante, juste un fruit ou légume local à rapporter comme droit d’entrée !

De nombreuses animations sont prévues lors de cette fête : les ateliers du « fait maison », une zone de gratuité, des activités ludiques, un espace militant, « La vallée de mes rêves », une disco-soupe…

À 11h, un apéro-débat est organisé en présence de M. Jean-Claude Mensch (maire d’Ungersheim, ville en Transition) sur le thème : « Faire vivre la Transition : quelle stratégie pour un élu ? ».

Les ateliers du « Fait maison » proposeront différents thèmes au public : recyclage de palettes,  fabrication de nichoirs, d’emballages alimentaires en cire, de produits ménagers biodégradables, de tawashi (éponges en tissu), confection de papier recyclé et de cosmétiques naturels. Des ateliers «vannerie » et «marionnettes » vous permettront de réaliser des objets à partir d’éléments naturels. Christine Ackermann, diététicienne, informera les personnes intéressées sur une cuisine saine et économique. N’hésitez pas aussi à ramener votre vélo ou votre trottinette pour une révision ! Il y aura des conseils pour petits et grands sur la sécurité à vélo.

Le 13 octobre, vous pourrez également participer à une zone de gratuité (du don, rien que du don) : déposez vos surplus de vêtements, plantes et semences, fruits et légumes, graines de kéfir, vélos et trottinettes. Le tout en bon état, bien sûr !

La fête de Pas à Pas, ce sont aussi des activités ludiques : jeu de l’oie géant sur les déchets, skis coopératifs, sentier pieds nus et parcours olfactif, bulles de savon géantes,…

Un espace militant vous fera découvrir les actions de Pas à Pas, d’autres associations ainsi que des campagnes nationales (« Nous voulons des Coquelicots, etc.). Une animation invitera les visiteurs à s’exprimer sur le thème « La vallée de mes rêves » et un crieur public relayera tous les rêves exprimés.

M. Speiser invitera le public à découvrir « Le mystérieux truc en fer » et à 16h, Claude Charbonnier proposera un beau spectacle : « Dans le verger de mon grand-père ».

À l’occasion de sa fête, Pas à Pas lance un « Défi mobilité » : venez à pied, à vélo, à trottinette ou en covoiturage.

Venez nombreuses et nombreux festoyer autour de la Transition !

Plus d’infos : transition-pasapas.org  et contact@transition-pasapas.org

Programme complet dans le flyer dédié.

 

 

Les pesticides, quels impacts sur notre santé et notre environnement ?

Compte rendu de la conférence sur les pesticides du 5 juillet à Kaysersberg

Une conférence s’est tenue au Badhus à Kaysersberg une conférence – débat sur le thème : « Pesticides, quels impacts sur l’environnement et la santé ». Cette conférence était organisée par l’association « Pas à Pas, vallée de la Weiss en transition » dans le cadre de la campagne nationale « Nous voulons des coquelicots ». Cette campagne, comme l’a rappelé en introduction Pas à Pas, vise à l’interdiction de tous les pesticides de synthèse, d’ici 2020
Les deux intervenants, sont, comme ils ont tenu à le signaler d’entrée de jeu, des généralistes ; d’une part en agro écologie, pour Mr Christian Bockstaller, ingénieur à l’INRA (Institut National de Recherche Agronomique) et d’autre part en médecine générale, pour Mr Rémy Mazurier.

La conférence a démarré par les aspects environnementaux avec Mr Bockstaller qui a tenu a préciser qu’il n’avait aucun lien ni contact avec quelque lobby que ce soit et qu’il était là pour montrer, preuves scientifiques à l’appui, le pour et le contre de l’utilisation des pesticides.
Il a d’abord brossé un rapide tableau de l’évolution de l’agriculture dans les dernières décennies, avec la découverte des pesticides et les progrès de la mécanisation qui ont conduit à une intensification de l’agriculture, ayant des effets secondaires économiques, sociaux et environnementaux. Puis il a expliqué que sous « pesticides », on entend  « produits phytosanitaires » ou « phytopharmaceutiques » (en fonction du Ministère qui en parle ! ) ; ce sont des substances actives accompagnées d’adjuvants . Et ce sont souvent ces adjuvants qui posent problème, car leur formule est tenue secrète par les entreprises et ils sont souvent plus dangereux que la substance active.

Lors des traitements, seule une petite partie touche la cible (en particulier lors de la pulvérisation, seuls 5% atteignent la culture). Le reste pollue, l’air, les sols et l’eau. Les autres risques majeurs viennent des problèmes de manipulation : ces deux problèmes produisent des pollutions ponctuelles. Les expositions répétées aux pesticides ont des effets à long terme. Il faut aussi prendre en compte la durée de « demi vie » des produits, c’est – à – dire le temps qu’il faut pour dégrader 50% de leur activité. Par exemple, la roténone se dégrade très vite. Un autre effet des pesticides est la stérilisation des sols ; or, il se trouve que, de ce point de vue, le cuivre (autorisé en agriculture biologique) est d’après M. Bockstaller plus nocif que le glyphosate. D’ailleurs, ce dernier, s’il était utilisé à bon escient et en dose minime, pourrait être utilisé dans une agriculture dite « de conservation », qui permettrait la transition vers une agriculture sans pesticides. C’est ce que préconise l’INRA.

Mr Bocksatller a terminé son propos sur cette affirmation : il n’est pas possible de supprimer d’un coup les pesticides ; par contre, il est souhaitable d’accompagner les agriculteurs vers une agriculture extensive, biologique, ce qui suppose un système d’exploitation plus complexe. Il faudra que le consommateur accepte aussi de payer le prix de ce changement et évolue vers une alimentation moins carnée ou issue de l’élevage.

Puis ce fut au docteur Mazurier d’aborder les problèmes de santé. L’association nationale dont il est membre (Alerte Médecins Pesticides) a pour but la protection de la santé et de l’environnement face à l’utilisation des pesticides. En premier lieu, il s’agissait pour cette association de protéger les agriculteurs.

En dehors des agriculteurs – qui sont les premiers contaminés – il y a des effets des pesticides sur les « riverains » c’est à dire les personnes habitant des zones proches des cultures où sont épandus les pesticides. S’il y a peu de contamination aux organochlorés interdits depuis longtemps, les intoxications aux organophosphorés et aux pyréthronoïdes sont très importantes. Ce sont surtout les contaminations des femmes enceintes qui ont des effets sur le foetus et donc sur le bébé qui va naître. Ces intoxications vont provoquer des retards de croissance avec diminution du périmètre crânien, de l’asthme, des baisses de QI, des tumeurs cérébrales et d’autres pathologies. Il a été établi scientifiquement une corrélation entre la maladie de Parkinson et les pesticides. Cette maladie est reconnue comme maladie professionnelle chez les agriculteurs depuis 2012.

Les populations les plus vulnérables sont les femmes enceintes, les jeunes enfants et les adolescents, car les pesticides sont des perturbateurs endocriniens, c’est-à-dire qu’ils perturbent le bon fonctionnement du système hormonal.

Ne pouvant expérimenter les effets des pesticides sur l’homme, prouver leurs effets sur la santé se fera au terme de nombreuses années, même s’il apparaît fortement une corrélation entre l’exposition aux pesticides et certaines maladies. La question n’est pas : « Est-ce que c’est dangereux ou pas? », mais «  Qu’est-ce que je suis prêt à accepter pour…? »

Le docteur Mazurier a terminé son intervention par la citation suivante :

« Tout travail scientifique est susceptible d’être bouleversé ou modifié par l’avancée des connaissances. Cela ne nous donne pas pour autant la liberté d’ignorer les connaissances dont nous disposons déjà, ni de retarder les mesures qu’elles semblent réclamer à un moment donné » (Sir Bradford Hill, 1965)

Suite à ces deux interventions, la parole a été donné à la salle pour un débat respectueux, riche des interventions des uns et des autres.

La soirée s’est terminée autour d’un verre de jus de pommes et de pâtisseries.

 

Nous voulons des Coquelicots vendredi 2 aout à Labaroche

Ce vendredi 2 aout à 18h, au marché bio de Labaroche à coté du musée du bois,
pour la 11è fois, l’association «Pas à Pas, vallée de la Weiss en transition» invite la population à répondre à l’Appel des coquelicots.

                                                            «Le12 septembre 2018 a été lancé un immense Appel qui doit provoquer un soulèvement pacifique de la société française. Il pourrait durer deux ans et vise à mobiliser au moins cinq millions de soutiens. La vaste campagne qui a commencé a besoin du soutien de tous, car tous sont concernés de la même manière. Chacun, oui chacun doit trouver la manière sincère et intime de répandre cet Appel, de manière qu’il devienne viral et atteigne le moindre recoin de la société. Pour la raison, évidente pour nous, qu’il n’est pas une parole écologiste ou politique, mais bien un Appel d’humains à tous les autres humains. Pour nous, c’est l’heure, et elle ne repassera pas. En effet, les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l’estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises. Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles psychomoteurs chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L’exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui a choisi la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers. Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans ; la moitié des papillons en vingt ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Ce monde qui s’efface est le nôtre et chaque couleur qui succombe, chaque lumière qui s’éteint est une douleur définitive. Rendez-nous nos coquelicots ! Rendez-nous la beauté du monde ! Non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection. Nous exigeons de nos gouvernants l’interdiction de tous les pesticides de synthèse en France. Assez de discours, des actes. «Pendant toute la durée de l’Appel – deux ans – tous les 1ers vendredis de chaque mois à 18h 00 les signataires sont invités à se retrouver sur les places des villes et des villages des lieux où ils habitent. Pendant tout ce temps, à la manière d’un téléthon, nous souhaitons que des milliers d’événements de toute taille et de tous ordres aient lieu en France, pour défendre l’espoir d’un pays enfin débarrassé de ces terribles poisons. Car ce n’est pas une pétition, oubliée aussitôt que signée. Il oblige, et veut transformer des milliers de signataires en autant d’acteurs sociaux dont le but sera d’œuvrer à la victoire.!»

Plus d’infos : https://nousvoulonsdescoquelicots.org/

Conférence-débat sur les pesticides 5 juillet 20h30 à Kaysersberg

L’association Pas à Pas organise une conférence-débat le vendredi 5 juillet  20h30 à Kaysersberg (salle du Badhus) sur le thème des pesticides. Quels sont les impacts de ces substances de synthèse sur notre santé et notre environnement ? Nous tenterons d’y répondre avec deux intervenants : Rémy Mazurier, médecin et membre de l’association « Alerte des médecins sur les pesticides » ainsi que Christian Bockstaller, ingénieur de recherche à l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique).

À cette occasion, il vous sera possible de signer l’Appel des Coquelicots.

Conférence suivie d’un verre de l’amitié.

Venez nombreuses et nombreux !

Distribution grand public de replants à la serre collective d’Orbey

La météo était encore avec nous ce vendredi 17 mai pour la deuxième distribution de replants de légumes et fleurs. Près de 40 familles – principalement orbelaises – sont venues au jardin de la bibliothèque d’Orbey à l’occasion de ce moment de partage et d’échange. Moins de deux heures plus tard, il ne restait plus rien ! Un immense merci à tous les bénévoles du groupe Jardins et vergers de l’association Pas à Pas qui ont permis de mettre en oeuvre pour la 3è année consécutive ce beau projet autour du jardinage au naturel !

 

 

 

Serre collective d’Orbey : une première distribution de replants !

Vendredi 10 mai s’est déroulée la première distribution de replants au jardin de la bibliothèque d’Orbey. Grâce à l’implication de nombreux bénévoles, l’association Pas à Pas  a pu distribuer de nombreux végétaux à repiquer à 25 familles. Cette année, le taux de germination a été exceptionnel et les replants sont magnifiques. Retour en images sur ce beau moment de partage autour du jardinage et de la gratuité. Bravo et merci à tous les bénévoles !

Une deuxième distribution est prévue le vendredi 17 mai de 17h à 18h. Elle est ouverte à tous.

Plus d’infos : jardin@transition-pasapas.org